Patrick LAGARDE, nouveau Président d’Évodia

Patrick LAGARDE, nouveau Président d’Évodia

 

Le Comité Électif d’Évodia s’est déroulé le jeudi 24 septembre au soir. C’est à la salle Robert Schuman de Golbey que s’étaient réunis les délégués d’Évodia, représentant les neuf collectivités adhérentes. Ils ont été invités à voter pour élire leur Président et leurs Vice-présidents.

A l’issue de ce vote, c’est Patrick LAGARDE qui a remporté l’écrasante majorité des suffrages : 39 voix sur 41 exprimées. C’est donc lui le nouveau Président d’Évodia, pour un mandat d’une durée de 6 ans. Il était l’unique candidat à cette élection et succède à Benoît Jourdain.

Patrick Lagarde connaît bien Évodia puisqu’il en était le 1er Vice-président lors des mandats précédents.

 

Patrick LAGARDE est le nouveau Président d’Évodia

 

Un nouveau mandat sous le signe de l’action collective

 

Dans son discours, Patrick LAGARDE a déclaré : « Ce nouvel engagement s’inscrit dans la continuité des quatre mandats déjà effectués au sein de cette belle structure en qualité de Vice-Président. Ces nouvelles fonctions, pour le compte de notre syndicat de traitement, est une nouvelle étape. »

Il a également salué le travail effectué par son prédécesseur Benoît JOURDAIN, qui fut à la tête d’Évodia pendant 12 ans : « Il s’est attaché à développer la structure et grâce à l’équipe constituée et dirigée par Annick LAURENT, a su s’’inscrire dans l’optimisation de nos dispositifs, positionner Évodia comme l’un des syndicats de traitement les plus performants au national. Je tiens à le remercier pour son engagement et les compétences sur les déchets qui étaient les siennes, et ses qualités de gestionnaire. Ce sera donc en garant des valeurs qui ont présidé à la création du Syndicat il y a 28 ans que j’inscrirai mon action. »

Une action que se veut collective, partagée, transversale et équilibrée ; avec la volonté de placer les neuf collectivités adhérentes sur un même plan d’égalité.

La nouvelle mandature voit se dessiner devant elle des enjeux de taille, comme la réduction des déchets ménagers et assimilés, le tri à la source des biodéchets généralisé, la réduction du gaspillage alimentaire, la réduction de l’enfouissement, l’augmentation des performances de recyclage ou encore la baisse des taux de refus.

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